Harmonie au bureau, c’est possible si...
Une enquête conduite par le quotidien Daily Telegraph parmi les employés britanniques et français a mis en évidence qu’au moins la moitié d’entre eux est sujette à s’énerver au bureau et que le lundi est presque à l’unanimité le pire jour (quelle surprise !). La crise économique a tout à fait contribué à dégrader les rapports professionnels, mais sur la base des interviews récoltées dans le cadre de cette enquête, il a été possible de rédiger une liste de facteurs d’importance variable qui causent plus fréquemment une réaction négative. Tout d’abord, la technologie qui semble conspirer contre les pauvres employés : à titre d’exemple, l’ordinateur ou l’imprimante en panne au contraire du téléphone qui n’arrête jamais de sonner. Puis, il y a les rapports humains souvent compro
omis par : les collègues qui s’attribuent injustement le mérite de quelque chose, ne perdent pas l’occasion de critiquer en cachette et de se comporter comme lèche-bottes ; un client, ou pire, le chef de bureau mal élevé ; les personnes qui parlent tous les moments, même quand on a besoin de se concentrer ; ceux qui ne se donnent pas la peine de lire correctement les communications écrites ; les fainéants fanatiques d’Internet, des réseaux sociaux et des pauses éternelles. Si enfin, on ajoute à cela les faits que le salaire n’a pas augmenté depuis plusieurs années, le désordre règne partout et on n’a pas de temps pour la pause-repas, le bureau devient compréhensiblement un lieu d’où s’enfuir. Et pourtant, il suffirait d’éviter les conditions énumérées dans la liste mentionnée ci-dessus pour que l’ambiance générale améliorât.
omis par : les collègues qui s’attribuent injustement le mérite de quelque chose, ne perdent pas l’occasion de critiquer en cachette et de se comporter comme lèche-bottes ; un client, ou pire, le chef de bureau mal élevé ; les personnes qui parlent tous les moments, même quand on a besoin de se concentrer ; ceux qui ne se donnent pas la peine de lire correctement les communications écrites ; les fainéants fanatiques d’Internet, des réseaux sociaux et des pauses éternelles. Si enfin, on ajoute à cela les faits que le salaire n’a pas augmenté depuis plusieurs années, le désordre règne partout et on n’a pas de temps pour la pause-repas, le bureau devient compréhensiblement un lieu d’où s’enfuir. Et pourtant, il suffirait d’éviter les conditions énumérées dans la liste mentionnée ci-dessus pour que l’ambiance générale améliorât.