Petit Larousse illustré 2014, plus de 150 nouveaux mots

La langue française s’enrichit peut-être beaucoup plus que d’autres langues, parce que les linguistes préfèrent de forger des nouveaux mots plutôt que d’adopter des expressions étrangères surtout anglophones. En général, ce choix est compréhensible, mais de temps en temps, pour être sincères, les alternatives francophones ne sont pas très agréables à l’oreille. Le dictionnaire Larousse a toujours été un modèle de référence et une source très fiable d’information : une véritable institution en France. Parmi les nouveaux mots (plus de 150) parus en juin dernier dans l’édition 2014, il y en a certains qui sont invariés dans toutes les langues parce que desormais universellement connus, strictement liés au monde virtuel et aux nouvelles technologies, comme par exemple « hashtag », « flash-mob », . Il y a aussi des mots forgés dans d’autre
es territoires où on parle en français, tels que la Suisse, la Belgique, le Québec et plusieurs pays du continent africain. Dès cette année on pourra donc dire « Bouèbe, n’épouais (helvétismes) pas le déneigeur, qui est chialeux (quèbecismes) parce qu’il est payé par billetage (africanisme)! », c'est-à-dire, sur un ton familier : « Marmot, ne fais pas peur à l’ouvrier qui enlève la neige : il est bougon parce qu’il est rétribué en espèces »... Blague à part, les langues évoluent de pair que les cultures d’appartenance et elles représentent toujours un facteur très important de connaissance des changements et croisements sociaux et culturels d’un peuple. Si vous êtes curieux de découvrir les autres nouveaux mots français, visitez le portail Editions-Larousse.fr .